Le terme start-up est apparu dans les années 1920 aux Etats-Unis mais s'est principalement généralisée à partir de l'émergence de l'internet commercial au cours des années 1990. Si la crise de la bulle internet de 2003 a partiellement remis en cause l'usage de ce terme, il est revenu en force au cours des années 2000 avec la création et la généralisation de l'emploi des smartphones et de l'internet mobile.
[...] Dès lors, et au regard de ces critères, il semble important de rappeler que peu de start-up peuvent être considérées comme des succès financiers. Par ailleurs, une autre acceptation de la réussite financière d'une start-up prend en compte non pas la capacité de la société à dégager des bénéfices mais bien de sa capacité à être rachetée à son fondateur à un prix important par des entreprises plus importantes. Cette vision de la réussite financière d'une société, si elle est une perception à plus court terme, est néanmoins souvent présente dans l'esprit des fondateurs de start-up qui voient dans cette logique de fondation, croissance, revente une occasion de tester les projets et d'en tirer une forte rentabilité à titre personnel. [...]
[...] Le recours à l'autofinancement 20 ii. Le recours au crowdfunding 20 iii. Le recours à l'intermédiation 21 b. Quel soutien financier spécialisé pour les start-up ? 22 i. Le business - angel : figure de la culture start-up 22 ii. Le recours au capital-risque 24 iii. Le recours au financement public spécialisé 25 iv. [...]
[...] La qualité des images ( ou 4K) dépend également de l'offre. Cependant, ce niveau de qualité en streaming n'est possible que grâce à l'émergence du très haut début qui garantit le fonctionnement de ce service. Ainsi, ce service a su adapter ses caractéristiques à l'émergence de la fibre optique et à sa démocratisation, réalisée à l'aide de plans publics. En 2015, Netflix représentait près de 30% de la bande passante aux Etats-Unis en soirée devant les BitTorrent principal logiciel de piratage en peer to peer. [...]
[...] Bien que très médiatiques, les business angels ne représentent cependant qu'une part limitée du financement des start-up (42 millions d'euros en 2015 réparti sur 315 entreprises). La plus grande part de ce financement est ainsi assurée par le capital-risque, c'est-à-dire des structures de financement spécialisées dans les JEI. Cependant, une tendance à la professionnalisation de l'activité de business-angel est à noter du fiat de l'émergence d'une nouvelle classe d'entrepreneurs venant du monde des start-up et disposant de liquidités importantes. Cette tendance (et son intérêt pour l'économie) a d'ailleurs été décelée par les différents gouvernements des pays de l'OCDE qui offrent aujourd'hui des possibilités de défiscalisation des sommes engagées dans le développement de start-up sur leur territoire. [...]
[...] Questionnaire : Considérez-vous que le modèle économique de votre société s'inscrit dans une culture moderne des modes de consommation ? Considérez-vous que votre modèle économique s'inscrit dans la culture de la gratuité qui s'est développée sur Internet. La création d'une base d'utilisateurs importante : de la viralité du produit En la matière le livre Hook de Nir Eyal fait office de référence dans le milieu des start-up du numérique. L'ouvrage part d'un constat : la fréquence d'utilisation et l'intensité d'utilisation déterminent fortement le succès et la viralité d'un produit numérique (application notamment) proposé par un start-up. [...]
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