La gouvernance économique mondiale depuis 1975 - publié le 02/06/2019

Extraits

[...] Dans les différentes conférences internationales (Protocole de Kyoto en 1997, conférence de Copenhague sur le climat de 2009, sommet de la Terre à Rio en le thème du DD est incontournable et a progressivement été intégré aux débats économiques mondiaux CONCLUSION [Réponse à la problématique] Ainsi, depuis 1975, la mise en œuvre d'une gouvernance économique mondiale est chaotique : d'abord confrontés à de graves difficultés économiques, les États ne parviennent plus à faire fonctionner les institutions internationales de l'après-guerre ; puis, à partir de 1995, ils tentent de mettre en place de nouvelles formes de gouvernance, qui doivent désormais surmonter une crise économique de grande ampleur. [Ouverture] Donald Trump décide de manière unilatérale d'augmenter les taxes douanières sur l'acier, les métaux venant de l'Europe, du Mexique et du Canda dans le but de privilégier la production de son pays (mesures protectionnistes). Il remet donc en question les différents accords comme l'OMC, l'ALENA qui régissent cette gouvernance économique mondiale.  Mesure de rétorsion de Macron, Merkel qui augmentent aussi les taxes sur les voitures américaines par exemple. [...]

[...] La gouvernance économique mondiale depuis 1975 IntroductionLa nécessité d'une coopération entre États s'impose à l'issue de la 2°GM. Tirant les leçons des échecs des années 1930, les dirigeants du monde mettent en place des institutions internationales pour garantir la paix et favoriser un retour à la prospérité. Les Alliés posent les bases d'une nouvelle conception du gouvernement du monde. Ils tentent de réguler l'économie mondiale par la mise en place d'institutions internationales dans le but de favoriser les échanges. Cependant, face aux crises économiques et financières, les États réorganisent les institutions internationales et multiplient les sommets. [...]

[...] Reagan) et au RU par les conservateurs (M. Thatcher), fondées sur la réduction des impôts et la dérégulation des échanges (suppression des réglementations économiques afin de libérer les prix, encourager la concurrence et favoriser l'investissement privé). Ce vaste mouvement de déréglementation se traduit par la privatisation des entreprises publiques, la libéralisation des mouvements de capitaux et de services financiers, la réduction des dépenses de l'État dans les services publics. Elles se diffusent eu Europe occidentale puis dans les pays du Sud par l'action du FMI notamment. [...]

[...]  Économies liées, INTERDEPENDANCE qui va poser la question de comment gérer l'ensemble de cet économie mondiale. Le système de Bretton Woods avait mené à la création de la BM, du FMI qui avaient pour but de ne pas faire varier les monnaies ; avec la crise financière ce système monétaire est complètement déstabilisé. En 1976, les accords de Kingston (Jamaïque) officialisent l'abandon des parités fixes et la fin du contrôle des changes. Les institutions mondiales FMI/ BM sont maintenues mais on modifie leurs fonctions. (Le FMI aide un pays confronté à une crise financière)2. [...]

[...] A la recherche d'une nouvelle coopération internationale Les organismes mondiaux tels que le FM ou la Banque mondiale ne parviennent pas à lutter contre les nouveaux déséquilibres économiques. En 1975, les dirigeants des 6 grands pays industrialisés (France/ RU/ EUA/ RFA/ Japon/ Italie) décident donc de se réunir régulièrement pour se concerter sur les problèmes économiques internationaux. Ce groupe des 6 élargi en 1976 au Canada illustre la volonté des États de retrouver une influence face aux nouveaux acteurs privés de la gouvernance économique mondiale, en cherchant à relancer une coordination internationale des politiques monétaires et commerciales  ce n'est pas une institution d'échelle mondiale (coopération Eco entre pays riches) JUSTEMENT de nombreuses critiques émergent après la création de ce G7 qui n'est « qu'un groupe informel de discussion ». [...]