La littérature engagée - publié le 06/06/2019

Extraits

[...] Les peintres et les écrivains montrent des situations concrètes et familières, proches du lecteur, ancrées dans la réalité sociale. Le XXe siècle poursuit le combat des idées à travers les genres. Les horreurs de la guerre poussent les artistes à critiquer le réalisme de surface et tendent alors vers un art qui permet de « regarder derrière l'apparence des choses » afin de donner une image véridique du monde : le cubisme, le surréalisme, une littérature engagée qui illustre des idéologies politiques et est destinée à convaincre et persuader. [...]

[...] Attention aux nuances Emporter l'adhésion du lecteur : *convaincre = par un raisonnement / lecteur intelligent *persuader = par l'émotion / un lecteur ému *délibérer = par un débat, en pesant le pour et le contre Les 3 formes peuvent cohabiter dans un même texte Les stratégies du discours en littérature : Dans un texte argumentatif, il convient d'analyser certaines stratégies : • le temps employé pour délivrer la morale L'impératif impressionnera et le présent évoquera une vérité générale, il « clouera le bec ». • le destinataire S'il est identifié, l'auteur recherchera la complicité. Est-il valorisé ? Ou alors mis à distance ? • le « on » qui représente-t-il ? [...]

[...] *« eia pour ceux . [...]

[...] Les formes de discours : – L'apologue = C'est un récit en prose ou en vers contenant une anecdote de prime abord distrayante mais il illustre une leçon, une morale. L'argumentation est indirecte, implicite. L'apologue pousse le lecteur à la réflexion sur la société la fable (La Fontaine) et le comte philosophique (Voltaire). – L'essai = Contrairement à l'apologue, l'argumentation est directe. Il n'y a pas de situation fictive destinée à divertir. L'auteur développe sa thèse et s'exprime à « je ». Les Essais de Montaigne – Le dialogue = Il est plus délibératif et permet de confronter deux points de vue divergents. [...]

[...] Il n'imaginait pas son trépas" *vision critique de la guerre : les hyperboles "des magasins","des balles à en revendre", "mille morts" =puissance destructrice *ironie par antiphrase= « nous étions jolis », «il manifeste une bravoure stupéfiante » = le narrateur montre son mépris, prise de conscience progressive de l'horreur/ l'absurdité de la guerre. Genre : cinéma La 2ème *genre burlesque = =>Chaplin dénonce guerre humour + caricature ainsi la volonté mondiale Hitler tourné en d'Hitler de Le Dictateur 39-45 dérision (=moqué) grâce dominer le monde Charlie au personnage d'Hinkel et d'exterminer le Chaplin(1940) mise en place peuple juif de l'état *comique de situation = extrait de la totalitaire le dictateur a peur de =>critique les scène du Globe nazie lui même +grimpe au aspects du régime voir sur youtube rideau + le globe nazi(propagande, explose culte de la personnalité, *musique, mise en scène antisémitisme, du ballet = douceur militarisme . [...]